L'auteur d'un blog, sur lequel je débarque en raison d'un courant de liens inconnu, se plaint de la banalité du quotidien, de l'ennui qu'il ressent devant le déballage systématique de lieux communs, de la pluie et du beau temps. Son discours revient à dire que devant l'écran, au moins, il a le sentiment de vivre. Ce monsieur, instruit, professeur je crois (il dit: "prof.") a soixante-deux ans.
Le système a vraiment bien réussi son coup, si l'on peut dire, et si le bonheur ne tient plus qu'à l'utilisation d'un terminal comme unique moyen.
Alors ensuite, après la lecture d'un tel aveu, tenter de se défaire de cette idée morbide, difficulté à dissiper cette amertume; éviter la lecture d'un livre électronique et aller courir les femmes dans la rue.
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Dommage que tu ne mettes pas le lien de ce blog professoral, on aurait pu juger sur pièces !
RépondreSupprimerJe ne me souviens plus du lien, mais j'ai encore en mémoire l'odeur des femmes.
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