Les plaisirs, autant qu'on put appeler de la sorte ces instants, parfois longs, de délassement, se reportaient toujours à des souvenirs différemment rapprochés. Ces plaisirs n'existaient pas sans qu'ils fussent précédés d'un pincement à l'estomac. Ainsi, toute tentative vers le bonheur se heurtait, à la manière d'un monte-en-l'air atteint de vertige, au choc lancinant d'une ulcération inévitable.
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