Ça n'a pas d'importance
On n'a jamais su, quoi, s'il avait eu un coup de mou, un coup de barre, un coup de boule, un coup de trop ? En tout état de cause il s'est retrouvé sur le carreau, étalé pour le compte.
Sur sa tombe furent gravés (à la hâte) ces quatre mots: «deux blanches, une noire» (ou l'inverse, tant la confusion était grande et parce qu'il jouait aussi du piano. Bar. Du piano-bar. Au sous-sol. Ou bien à l'entresol, ça n'a pas d'importance.)
...
... définitivement, sur la touche, quoi.
RépondreSupprimerd'accord, tout à fait !
SupprimerAïe !
RépondreSupprimer(oui, c'est court, mais que dire de plus avec une bosse à l'occiput et deux dents en moins, la rencontre avec le pavé fut rude !)
... !!
SupprimerIl manque presque des rails (de coke) dans le passage...
RépondreSupprimer... comme, par exemple, au 6 de la rue Léon Jouhaux, où les rails, curieusement, sont courbes.
Supprimeravant la viande froide, un peu de réchauffé : j'imaginais Mac Orlan (est-ce son bonnet écossais et la proximité de la mer ?) était havrais, et non un illustre habitant du 77. Sans doute aussi parce qu'il a écrit sur le Havre et notamment la chanson de Margaret, une de mes préférées, interprétation Germaine Montero, dont l'ambiance colle parfaitement à celle de ce passage aux pavés luisants, d'humidité croit-on : http://m.youtube.com/watch?v=gc6ifEnKj8k&desktop_uri=%2Fwatch%3Fv%3Dgc6ifEnKj8k
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