Drame édifiant à l'intention des hygiénistes frileux
(ou l'enthousiaste amphiphile)
Il s'en est fallu de peu de choses... en fait, il eût mieux valu rouler beaucoup plus prudemment.
Certes...
Sans doute...
ooOoo
Mais que le lecteur...
se rassure...
cette sale histoire...
se terminera...
proprement
...
Quel grain magnifique! Vous avez lavé tous nos doutes.
RépondreSupprimeril faut toujours en garder un peu (du doute, pas du grain :)
SupprimerLa moto devrait être interdite : comment peut-on tenir sur deux roues ?
RépondreSupprimeren ayant le sens de l'équilibre, je présume ?
Supprimerphile et phobe à la fois, cruel dilemme humain, comme semble le dire résigné le chaînage anthropomorphe de la cinquième photo qui semble bien au cœur de l'affaire
RépondreSupprimerincroyable cette science que nous avons pour construire des ruines, car nous ne construisons que des ruines, au final: du bientôt vieux, et tout se désagrège; le ciment, les sociétés, nous même. Restent des signes qui perdurent aux volontés, mais nul ne sait plus rien de cette municipalité qui fut si fière du lavoir, de l'adjoint qui, du jour de l'inauguration et de ce qui suivit, des saisons qui passèrent, puis du confort moderne et du lavoir privé et électrique. Alors plus tard (1974 ?) après qu'on eut pris quelque distance avec les personnages précédents, l'amère dénauguration, et depuis le silence, l'écho des grincements et l'interrogation : que faire du passé simple ?
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