«—Quel havre abrite la paix loin des lames de fond loin de la tempête Quel havre peut-il accueillir terreurs et tragédies —Son sein est aussi un havre où la nuit se fait jour»
Merci Alain, pour vous de même (ce sont les -presque - derniers mots de Peter Grimes dans l'opéra éponyme de Britten, traduction approximative du livret de Montagu Slater d'après Georges Crabbe...)
Dans un monde où la nuit de fait jour, les ombres des branches bientôt clignoteront de l'idée de guirlandes
RépondreSupprimerIl faudra retourner à une autre heure
SupprimerCette photographie est un enchantement.
RépondreSupprimerOui, l'ombre de Barbe bleue rôdait...
Supprimerjoli! (le poème) joyeuses fêtes!
RépondreSupprimerMerci Alain, pour vous de même (ce sont les -presque - derniers mots de Peter Grimes dans l'opéra éponyme de Britten, traduction approximative du livret de Montagu Slater d'après Georges Crabbe...)
SupprimerCes branches sont des rameaux d'amitié...
RépondreSupprimerBelle année à toi !!!
Bonne année aussi ! (et pas d'indigestion de stockfish)
SupprimerChacun voit la nuit à sa porte et le jour à sa fenêtre. Que la vie vous soit douce.
RépondreSupprimerMerci Zoë, et je vous souhaite, bien sûr, à peu près la même chose...
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