plan B
... d'accord, il y a ces moments perdus, mini-séismes du cortex, micro-capitulations; ces épuisements, ces affaissements, ces exténuations. Vu du dehors, un abattement mais en dedans, c'est pire: bouillonnement improductif, conscience du peu, bruit des extincteurs déclenchés à tort. Grondement de l'ennemi: l'avenir (le passé est déjà table rase). Les percées du front: dégâts considérables aux avant-postes. Trains immobilisés, infirmières en déroute, généraux en goguette repliés sous le cervelet. Certes...
... certes, mais tout peut encore arriver qui contrariera la prospective. Une lecture, par exemple. On ne soulignera jamais assez les méfaits d'une bonne lecture sur le moral de l'ennemi.
Pour parler d'autre chose, la ronde, la ronde de printemps, sera en ligne mardi prochain, mardi 15 avril. Plus que quelques jours avant le lancement du parasol et le déploiement des grilles.
Cette "ronde", c'est finalement une sorte de caravane à la Duke Ellington ?
RépondreSupprimerIl est vrai qu'un parasol dans le désert n'est pas un accessoire superflu !
Tu as bien fait de laisser cette trace, comme ton assurance-vie si Dieu le père venait à passer par ici.
Supprimerun lancer de parasol ? ça ressemble à quoi ?
RépondreSupprimer(on peut aimer la surprise de sa trajectoire ?)
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