Jaguarine, au débotté
Ici est le lieu d'une coïncidence.
À la lecture du billet d'Hélène Verdier sur son second blog Simultanées, me revient en mémoire une image aperçue et aussitôt fixée tandis que nous sortions du 15 rue du Lau, à Milly-la-Forêt dans l'Essonne, là où se trouve la maison de Jean Cocteau et son jardin aux reflets troublants. Jardin plus en phase, pensais-je, avec une certaine poésie de l'auteur plutôt que l'intérieur de la maison elle-même, transformée en musée aux odeurs compassées.
Sans aucune concertation préalable, cela va de soi, il se trouve que j'avais saisi l'évènement précis dont il est question dans le lien cité plus haut. Avais-je bien fait, n'allais-je pas briser un mystère, à la manière d'un Orphée trop curieux et pour tout dire catastrophique ? En ces temps incertains, où la rencontre est rare quand elle n'est pas contrariée, je prends le risque de me faire pendre par les pieds (et en couleurs) pour excès de dévoilement.
Jaguarine, n'en doutons pas, court toujours. À l'endroit ou à l'envers.
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