clos/couvert I







y
n’
manquait
plus qu’un
toit alors je
m’décidai fallait 
amarrer un gros nuage et
 d’tronçonner l’ombre inutile
tous ces troncs trop penchés qu’
allaient gêner la pousse entortillée d’mon 
lierre si vernis empanaché pour les tombeaux et
de c’bois-de-bout cerne après cerne j’compterai les ans 
clou après clou larmes de ciel et de résine viendront couler
sur les essentes j’les moucherai à la mouchette et puis j’couperai
 le fil qui tenait l’nuage avec lui dans ma cabane j’m’endormirai pis j’volerai
volerai volerai très haut trop haut au vent d’ouest qui souffle fort les rêves fous








Premier vendredi du mois, un vase communicant
 (dont l'initiative revient à François Bon et scriptopolis)

Poème Hélène Verdier (simultanées), photo D.A.

Un échange sur le thème du clos et du couvert
dans les campagnes du Bray ou des bords de Marne








La liste des vases est répertoriée dans ce blog


Remerciements à Marie-Noëlle Bertrand et Brigitte Célérier




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