Discrétions
Un plaisir neuf, et pourtant retrouvé, avec la proportion d'image 1,33 de beaucoup d'appareils photos à petit capteur, ou de celle des smartphones. Elle rappelle le format natif du cinéma, avec toute la distance que cela suppose et avant l'invention de la bande son (ce qui n'est parfois pas plus mal), mais aussi celui dit « académique » ou classique, et qui lui était sonorisé.
Grâce à cette contrainte (on pouvait probablement deviner la perfectibilité de l'outil), il y avait là possibilité d'une ambition, perceptible en particulier par ceux qui, arrivés en retard à la séance ou n'ayant pas payé pour, devaient rester debout au fond de la salle (ce qui est toujours mieux que d'être assis et de partir avant la fin).
De toute façon cela ne change rien, le temps qui passe est liquide, on y glisse comme au nettoyage d'une vieille toile cirée (quand soudain, une vague plus haute que l'autre ?)
Impressionnisme moderne
RépondreSupprimerah bon, à ce point-là ? (;
Supprimer3 : quand au sombre baiser surgissent rides et bleus en symétrie, je, respire sous les mélancoliques formats
RépondreSupprimer(tu, le temps est passé)
SupprimerCe n'est pas le format mais l’œil qui a saisi ce pur instant de quiétude.
RépondreSupprimer(cette histoire de format ne devait être qu'un prétexte)
RépondreSupprimerLes paysages parfois plus qu'en ville...
RépondreSupprimerPeut-être existe-t-il un format "ville", genre carte de visite...
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