Papiers brûlés






Des étoiles mystérieuses absorbent la pensée
c'est la nuit
Une force gravitationnelle immuable nous sépare
c'est la loi 
À ce point d'équilibre résistant des liens vont se tisser
invisibles
Un mot idiot tantôt s'y prend les pieds
c'est la chute
Alors renouons tout depuis, disons,
le début





Commentaires

  1. Ne pas se fier aux apparences sauf quand elles sont aussi belles et mystérieuses...
    La seconde photo est une merveille !
    Merci de ce partage en forme d'albums d'aventure en noir et blanc.

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    Réponses
    1. (j'ai un faible pour la troisième)
      (l'album, ça va venir)

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    2. (et merci, ça ne va pas sans le dire) :)

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    3. coupelles, eau herbes et bois en berceau

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  2. Finesse de la texture choisie par l'araignée,
    Beauté de la nature pas morte et fixée à l'instant "f".

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  3. Tant va le mot idiot à l'eau qu'à la fin il se brise...
    Conclusion de l'histoire : le mot idiot est un nœud gordien. Renouer avec lui, c'est se laisser prendre dans un nœud de vipères !

    ArD

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