La nuit, et puis le jour












« J'habite un violoncelle
Un triangle isocèle
Je demeure dans une maison
Entourée de gazon
Les filles les moins sages
Viennent du voisinage
Sautant par-dessus le mur
Elles trouvent un homme mûr
Je vis dans une volière
Dévorée par le lierre
D'où l'on voit des oiseaux
Qui planent sur les eaux
Je hante un couvent morne
Avez-vous vu mes cornes
Mon nez couvert de suie
Car le Diable je suis »

(ça, c'est du Trénet
ce n'est pas par hasard
j'avais noté dans mon carnet
ce rencard)










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Commentaires

  1. Difficile de... traîner dans les rues par ce froid : l'accueil n'est pas offert à tout le monde !
    Les photos réchauffent quand même !

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