le soleil sur le poil
Très calme en apparence, hormis quelques soubresauts sporadiques dont on ne sait s'ils sont le fruit d'un songe, mélange du souvenir d'un combat avec une croûte de pain ou avec l'araignée invisible, à moins que ce ne soit une sympathie implicite avec la musique de Clément Janequin, le son est pourtant baissé au minimum audible mais Le chant des oiseaux et Les cris de Paris contiennent peut-être, qui sait, un message crypté à l'intention de ceux qui ne dorment que d'une seule oreille sous un poil encore lisse.
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Sagesse du chat aux rêves philosophiques (et son sourire, comme dirait Maspero).
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