Une fenêtre dans la chronique des villes et des campagnes
La ville nouvelle qui s'étend, grignote, ronge, absorbe, digère indifféremment. La campagne affaiblie, vidée de sa substance, y oppose peu de résistance.
En marge des axes d'aménagement du territoire, parmi des friches et des îlots quelques individus attendent la fusion prochaine. Cependant le vieux monde cède, absolument.
Quelques photos (neuf, en somme) prises hier 25 octobre autour d'Esbly (Seine-et-Marne).
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J’aime vos romances sans parole et le doux regard des animaux sur vous, ils comprennent à qui ils ont affaire. Le cheval aurait aimé aller faire un tour avec vous :-) merci pour ces partages lumineux !
RépondreSupprimerJe ne sais pas s'ils comprennent, mais ils regardent ! :-)
SupprimerPourtant, que la campagne est belle!
RépondreSupprimerEn voie de muséification, j'en ai peur. Enfin, pour le moment c'est encore gratuit.
SupprimerAh! On dirait que la chose bégaie un brin
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