Merci Caroline, votre commentaire me fait penser aux premiers mots de Frêre Léon, dans le Saint-François d'Assise d'Olivier Messiaen : — Jai peur, j'ai peur sur la route, quand s'agrandissent et s'obscurcissent les fenêtres, quand ne rougissent plus les feuilles du poinsettia (à quelque chose près, et ceci n'étant bien sûr qu'une pure association d'idées, disons que cet air m'est resté mentalement indélébile...) ;-)
Et puis j'ai cherché. Et trouvé le tableau. La mémoire qui chante m'est toujours si fidèle. Et la vôtre aussi semble-t-il. Avec un « j'ai peur » en moins. Un autre merci Dominique. Belle suite d'été. ;o)
Alors amoureusement merci.
RépondreSupprimerÀ l’anonyme… reconnaissant ! :-)
SupprimerJ'avais pris un autre chemin. La nature était dense. On n'y voyait rien. Merci encore, Dominique. ;o)
SupprimerMerci Caroline, votre commentaire me fait penser aux premiers mots de Frêre Léon, dans le Saint-François d'Assise d'Olivier Messiaen : — Jai peur, j'ai peur sur la route, quand s'agrandissent et s'obscurcissent les fenêtres, quand ne rougissent plus les feuilles du poinsettia (à quelque chose près, et ceci n'étant bien sûr qu'une pure association d'idées, disons que cet air m'est resté mentalement indélébile...) ;-)
SupprimerEt puis j'ai cherché. Et trouvé le tableau. La mémoire qui chante m'est toujours si fidèle. Et la vôtre aussi semble-t-il. Avec un « j'ai peur » en moins. Un autre merci Dominique. Belle suite d'été. ;o)
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